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Le Rosaire de saint Dominique

 

LES ROSES DE MARIE 1

 

Qui trouve Marie, trouve la Vie (Eternelle)

Qui Mariam Invenerit Inveniet Vitam

 

 

   Vierge aux Rayons, rue du Bac à Paris.

 

 Le Rosaire est plus puissant que la bombe atomique !

 

ela se passait en 1945 à Hiroshima, au Japon.

La bombe atomique venait d’être larguée sur la ville, c’était le 6 aout à 8 heures quinze du matin.

Le champignon atomique s’éleva à 580 mètres, au dessus de la ville.

Les prêtres jésuites Hugo Lasalle, Hubert Schiffer, Wilhelm Kleinsorge et Hubert Cieslik étaient dans le presbytère de l’église Notre-Dame de l’Assomption au moment de la déflagration. Le presbytère est situé à une distance de huit immeubles du lieu où la bombe s’écrasa détruisant toute l’agglomération.

Alors que tous les immeubles furent réduits immédiatement en cendres, autour d’eux, le presbytère des jésuites restait fièrement debout.

Pendant 24 heures il fut entouré d’une sorte d’enfer, de feux, de fumées, de radiations.


 

 Bombe atomique à Hiroshima

 

 

 

 

Père W.Kleinsorge

 

Alors qu’il n’y eu aucun survivant sur une distance d’un kilomètre et demi du centre de l’explosion et 150000 morts en tout, aucun des jésuites ne fut contaminé par les rayons.

Le phénomène était tellement extraordinaire que 200 médecins américains et japonais voulurent les examiner par la suite et purent constater leur excellente santé.

Interrogés sur la cause de leur survie miraculeuse, un des jésuites répondit :

« Nous avions la coutume de prier un Rosaire entier, 15 dizaines, chaque jour.

Notre conclusion est que le Rosaire est plus puissant que la bombe atomique.

 

 Extrait d'un sermon récent d'un moine dominicain

 

 

 

La Madone de l'Humilité, Sasseta 1432-36, Berlin

 

 

  

 

Le Rosaire des déportés

"uand j'arrivais au camp de Neungamme, en passant à la fouille, j'avais mis mon chapelet autour de mon cou. Un S.S. me l'arracha brutalement et le jeta aux ordures. Plus tard, j'en fabriquai un avec des bouts de ficelle. Nous n'avions absolument rien, ni messe, ni objet de piété ; tout culte était interdit sous peine de mort. C'est alors que nous avons compris la valeur et l'utilité du Rosaire.

Tous les déportés s'ingéniaient à en fabriquer. On se les prêtait plusieurs fois par jour, et c'était presque la bataille pour les avoir. Le soir, on se réunissait à quatre ou cinq (les groupes de plus de cinq étaient interdits) sur les lits et là on méditait le Rosaire. Quel réconfort pour nous cette prière, la seule qu'il nous fut possible de faire ! Les mystères douloureux ! On les mimait avec le Christ, avec la Vierge. On lui offrait les souffrances : la faim, le froid, les coups de schlague qui pleuvaient, la solitude, l'exil.

En allant au travail, il fallait faire cinq kilomètres. Chaque jour, je méditais un chapelet, et les camarades se joignaient à moi en répondant aux Ave, sous les oreilles des S.S. stupéfaits. C'était beau ces rosaires médités sous la pluie qui fouettait le visage. On avait l'impression réelle de porter la croix du Christ, et la Vierge était près de nous.

A Salzgitter, "Kommando" dépendant de la Neungamme, on se réunissait le dimanche soir dans la salle des douches pour méditer le Rosaire. En partant de Neungamme pour Dachau, je donnai mon chapelet à un déporté qui me supplia, les larmes aux yeux, de le lui laisser. A Dachau, on récitait le Rosaire le matin pendant le travail. C'était le bréviaire de tous. Je l'avais appris en polonais, quand j'étais au bloc des Polonais.

En rentrant à Lyon, comme je l'avais promis à la Sainte Vierge, je montai pieds nus à Fourvière, en récitant mon Rosaire. Là-haut, j'en récitai un second et je célébrai la sainte messe. La Vierge Immaculée m'avait ramené des camps de la mort, je ne La bénirai jamais assez."

Révérend Père Humbert, source : "Introibo"

 

 

 

Magnifique Vierge noire d'Einsiedein

 

 

Deux femmes récitaient le chapelet dans un train . . .

e dimanche 29 juin 1891, il y avait fête dans la ville de Moenchenstein en Suisse, avec concerts, concours de tir, et autres stands variés. Dans l'après-midi, un train bondé de voyageurs et tiré par 2 locomotives, en provenance de Bâle dans le nord de la Suisse, entrait dans la gare de Moenchenstein.

Dans ce train se trouvaient deux femmes originaires du Jura, qui revenaient d'un pèlerinage à Notre-Dame des Ermites à Einsiedeln au nord de la Suisse et qui se mirent à réciter ensemble le chapelet, ce qui provoqua les moqueries des voyageurs qui se rendaient à la fête.

Or, au moment où le train passait sur le pont de Birse, un affluent du Rhin, le pont s'est effondré ! Toutes les voitures du train ont été précipitées dans le vide, entraînées par les deux énormes locomotives. Les voitures ont été littéralement écrasées, les unes sur les autres et l'on sortit des décombres 150 cadavres, sans compter de très nombreux grands blessés.

Quant aux deux personnes qui récitaient leur chapelet, elles furent retrouvées indemnes, sans une blessure, alors que leurs vêtements étaient en lambeaux et recouverts de sang. Ce fait est d'autant plus frappant que tous les voyageurs de leur wagon ont été les uns tués, les autres grièvement blessés. Beaucoup furent retrouvés les membres broyés.

Monseigneur Millot, Extrait de "Allons à Jésus".

 

 

 

Abbaye d'Eisiedeln, en Suisse

 

 

 

Ce que représente le nombre 153 pour le Rosaire

e nombre 153 que médita saint Augustin, c'est le nombre des poissons soigneusement comptés par saint Jean dans son récit de la deuxième pêche miraculeuse de Jésus.

 Or, nous apprenons que 153 représente exactement le nombre des jours qui s'écoulèrent entre la première apparition de la Dame du Rosaire à Fatima et la dernière le 13 octobre 1917, et de plus, chaque Ave Maria, dans la langue latine de l'Église , compte 153 lettres, et le Rosaire lui-même compte 153 Ave Maria.

Le Rosaire n'est-il pas en effet une couronne de roses de 153 Ave ?

Chaque Ave, comporte, dans la langue de l'Église (1) 153 + lettres, 153 pétales en chaque rose du Rosaire :

 

AVE MARIA  en latin

 

AVE MARIA GRATIA PLENA  =19

DOMINUS TECUM =12

BENEDICTA TU IN MULIERIBUS = 23

BENEDICTUS FRUCTUS VENTRIS TUI JESUS= 32

SANCTA MARIA MATER DEI=19

ORA PRO NOBIS PECCATORIBUS=23

NUNC ET IN HORA MORTIS NOSTRAE= 25

TOTAL  = 153

 
 (1) Le latin est la langue de l'église 
En conclusion nous pouvons dire que l'addition des mystères lumineux dénature le Rosaire .(Webmaster)
Source : Daprès Raoul Auclair

 

 
 
 

 

Vierge miraculeuse à la rue du Bac, Paris

 

Miracle à la rue du Bac

 es Filles de la Charité, congrégation fondée par saint Vincent de Paul, ont leur maison-mère à Paris, à la rue du Bac, ou l'une des sœurs, sœurs Catherine Labouré, eut le privilège, au cours d'une apparition en 1830, d'être choisie par Marie pour faire frapper une médaille dont Elle lui fixa le modèle, lui promettant, par ce moyen, d'étendre sa miséricorde à toutes les nations.

C'est pourquoi, des 1832, cette médaille se répandit vite dans le monde entier ou elle suscita tant de grâces qu'on ne tarda pas à la qualifier de médaille miraculeuse.

Contrairement à certaines fausses voyantes, avides d'étaler au grand jour leurs prétendues visions et leurs interminables prophéties aussi erronées que stériles, elle ne dévoila ses rencontres avec l'Immaculée qu'à son confesseur et, bien plus tard, à sa Supérieure ...

Ainsi ce couvent, sanctifié par la présence en ses murs d'une telle sainter qui fit de l'humilité sa règle de conduite, et - honneur suprême - choisi pour recevoir la visite de la Reine des Cieux, va-t-il être le théatre d'un miracle spectaculaire ...

En 1915, au petit matin du 22 novembre, un incendie s'était déclaré dans les sous-sols du "Bon Marché" qui lui était attenant.

Les religieuses, assurées de la protection de Celle qui les avait désignées pour propager sa médaille, laquelle avait déjà accompli de si grands miracles, refusant d'obéir aux ordres d'évacuation donnés par les autorités, demeuraient imperturbables, en suivant du regard, chapelet en main, l'effrayant spectacle. Leurs prières redoublaient d'ardeur au moment même où leurs murs et le clocher dans la chapelle, menacés par le gigantesque brasier, allaient être léchés par un puissant tourbillon de flammes.

Soudain - véritable merveille ! - le feu s'arrêta de lui-même, épargnant l'humble demeure de l'Immaculé Conception ...

Peut-être comprendrons-nous davantage la sérénité inébranlable de ces Filles de la Charité, en nous remémorant cette prédiction que la Vierge fit à sainte Catherine :

"... Le danger sera grand, on croira tout perdu ; mais ayez confiance et je serai avec vous."

Et elles eurent confiance. Et elles furent sauvées !...

Notre-Dame de la Médaille Miraculeuse, embrasez nos cœurs de votre amour afin que, n'aspirant qu'au Ciel, nous soyons délivrées des flammes éternelles.

 

Les Merveilles de Marie, Françoise Bouchard, Résiac

 "

"O Marie conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à Vous "

Pour propager cette dévotion envers la médaille miraculeuse, vous pouvez distribuer cette médaille miraculeuse, en donnant avec la médaille un petit tract explicatif, à télécharger ici.

Ce tract est à imprimer sur une page A4, recto verso, retournement grand coté et à découper en 4 petits tracts.

 

 

 

Notre Dame du Cap Ferrat

 

Le Rosaire : Remède à tous nos maux

ais le Rosaire n’est pas seulement un puissant moyen de sanctification, il est aussi le grand recours de l’Église contre tous ses ennemis. Faisant référence à la victoire de saint Dominique sur les albigeois dans le Languedoc, Léon XIII écrivait : Dominique prévoyait, par la grâce divine, que cette dévotion, comme un puissant engin de guerre, mettrait en fuite les ennemis de l’Église et les obligerait à renoncer à leurs audaces et à leurs folles impiétés.

Léon XIII parlait d’ailleurs souvent des victoires sur les cathares dans le Languedoc, et sur l’Islam à Lépante. Mais ce ne sont pas les seules victoires du Rosaire, c’est pourquoi le Pape ajoutait : ce fut toujours le soin principal et solennel des catholiques de se réfugier sous l’égide de Marie et de s’en remettre à sa maternelle bonté dans les temps troublés et dans les circonstances périlleuses. L’histoire ancienne et moderne, et les fastes les plus mémorables de l’Église, rappellent le souvenir des supplications publiques et privées à la Mère de Dieu, ainsi que les secours accordés par elle et en maintes circonstances, la paix et la tranquillité publique obtenues par sa divine intervention.

De là, ses qualifications d’auxiliatrice, de bienfaitrice, de consolatrice des chrétiens, de reine des armées, de dispensatrice de la victoire et de la paix, dont on l’a saluée. C’est pourquoi le Pape ne cessait d’exhorter les évêques à répandre dans le peuple chrétien la pratique du Rosaire parce qu’aujourd’hui, disait-il, les remèdes humains sont insuffisants à nos maux.

 
Extrait d'une conférence du Père Marie Dominique, op, 1996, Avrillé
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Un chapelet
 
 

Le Rosaire arrête un tueur en série en 1978

 3 heures le 15 janvier 1978, Ted Bundy entre dans la maison Omega Chi à l'université de Floride et assassine deux jeunes filles avant de partir à la recherche d'autres victimes. Quand il entre dans la chambre d'une troisième fille avec une arme, il trouve la jeune fille endormie devant sa fenêtre alors qu'elle priait le chapelet. Lorsque Bundy voit cette scène il laisse tomber son arme et s'enfuit. Il est alors arrêté et identifié grâce à ses empreintes.
Plus tard, la jeune fille déclara aux autorités qu'avant de partir pour l'université, elle avait promis à sa mère qu'elle allait prier le chapelet tous les soirs pour sa protection, même si elle s'endormait. C'est ce qu'elle a fait cette nuit là, et elle tenait toujours le chapelet lorsque le meurtrier est entré dans sa chambre. Bundy avouera plus tard plus de 30 meurtres.
Le père Joseph Esper dit dans son livre "Avec Marie pour Jésus", "ironiquement", quand Ted Bundy était dans le couloir de la mort, en attente d'exécution pour ses crimes, il m'a demandé de servir de conseiller spirituel, et j'ai eu l'occasion de lui poser des questions sur cette terrible nuit. Bundy a expliqué que quand il entra dans la chambre de la jeuner fille, il avait bien l'intention de la tuer ; mais une force mystérieuse l'en empêchait".
 
Le Messager de l'Immaculée, mars 2018

 


 L'Annonciation, Fra Angelico

    

Dévotion au Rosaire


ntre les choses admirables que la sainte Vierge a révélées au bienheureux Alain de la Roche (et nous savons que ce grand dévot à Marie a confirmé par serment ses révélations), il y en a trois des plus remarquables: la première, que c'est un signe probable et prochain de réprobation éternelle, que d'avoir de la négligence, de la tiédeur et de l'aversion pour la Salutation angélique qui a réparé le monde - la seconde, que ceux qui ont de la dévotion pour cette admirable salutation portent un très grand signe de prédestination - la troisième, que ceux qui ont reçu du ciel la faveur d'aimer la sainte Vierge et de la servir par affection, doivent être extrêmement soigneux de continuer à l'aimer et à la servir jusqu'à ce qu'elle les ait fait placer dans le ciel par son Fils au degré de gloire convenable à leurs mérites (Alanus).

Tous les hérétiques, qui sont tous des enfants du diable et qui portent les marques évidentes de la réprobation, ont horreur de l'Ave Maria; ils apprennent encore le Pater, mais non pas l'Ave Maria; ils aimeraient mieux porter sur eux un serpent qu'un chapelet ou un rosaire.

Entre les catholiques, ceux qui portent la marque de réprobation ne se soucient guère du chapelet ni du Rosaire, négligent de le dire ou ne le disent qu'avec tiédeur et à la hâte. Quand je n'ajouterais aucune foi pieuse à ce qui a été révélé au bienheureux Alain de la Roche, mon expérience me suffit pour être persuadé de cette terrible et douce vérité.

Je ne sais pas, et je ne vois pas même évidemment comment il se peut faire qu'une dévotion si petite en apparence soit la marque infaillible du salut éternel, et son défaut la marque de la réprobation. Cependant, rien n'est si véritable.
Nous voyons même que les gens de nouvelles doctrines de nos jours condamnées par l'Église, avec toute leur piété apparente, négligent beaucoup la dévotion au chapelet et au Rosaire et souvent l'ôtent de l'esprit et du cœur de ceux ou celles qui les approchent, sous les plus beaux prétextes du monde; ils se gardent de condamner ouvertement, comme font les calvinistes, le chapelet, Rosaire, scapulaire; mais la manière dont ils s'y prennent est d'autant plus pernicieuse qu'elle est plus fine. Nous en parlerons dans la suite.

Mon Ave Marie, mon Rosaire ou mon chapelet, est ma prière, et ma très sûre pierre de touche, pour distinguer ceux qui sont conduits par l'Esprit de Dieu d'avec ceux qui sont dans l'illusion du malin esprit. J'ai connu des âmes qui volaient, ce semble, comme des aigles, jusqu'aux nues par leur sublime contemplation, et qui cependant étaient malheureusement trompées par le démon, et je n'ai découvert leurs illusions que par l'Ave Maria et le chapelet, qu'elles rejetaient comme au-dessous d'elles.
L'Ave Maria est une rosée céleste et divine qui, tombant dans l'âme d'un prédestiné, lui communique une fécondité admirable pour produire toutes sortes de vertus, et plus l'âme est arrosée par cette prière, plus elle devient éclairée dans l'esprit, embrasée dans le cœur et fortifiée contre tous ses ennemis.

L'Ave Maria est un trait perçant et enflammé qui, étant uni par un prédicateur à la parole de Dieu qu'il annonce, lui donne la force de percer, de toucher et de convertir les cœurs les plus endurcis, quoique d'ailleurs il n'ait pas beaucoup de talent naturel pour la prédication.
Ce fut ce trait secret que la sainte Vierge, comme j'ai déjà dit, enseigna à saint Dominique et au bienheureux Alain, pour convertir les hérétiques et les pécheurs. C'est de là qu'est venue la pratique des prédicateurs de dire un Ave Maria en commençant leur prédication, comme assure saint Antonin.

 


 

17ème Rose du Secret Admirable du Rosaire, pour se convertir et se sauver ,

Par saint Louis-Marie Grignion de Montfort

 

 

 

Notre Dame de Fatima

 

En Suisse aussi

a Suisse sera protégée miraculeusement par la Très Sainte Vierge Marie et saint Nicolas de Flü, le 13 mai 1940, jour de la fête de Notre-Dame de Fatima. Cette nuit-là, 500 000 allemands étaient postés entre Bâle et Constance au nord de la Suisse. Le général Guisan, qui était le chef de l'armée, protestant, mais catholique de coeur, priait le chapelet tous les jours, et allait visiter tous les couvents et toutes les écoles suisses demandant à la population, aux religieux et religieuses, aux soldats, aux parents, aux enfants de se joindre à sa prière. La Providence allait faire ce que les soldats ne pouvaient pas.

A 2 heures du matin, le 13 mai, fête de Notre-Dame de Fatima, Hitler a donné l'ordre d'envahir la Suisse. Mais aucun moteur, aucun tank, aucun avion, rien n'a fonctionné. Hitler est devenu fou furieux, il a demandé de changer le carburant. Mais malgré cela, rien n'a fonctionné. Les soldats ont vu dans le ciel la main de saint Nicolas de Flüe qui semblait, d'un côté protéger la Suisse, de l'autre éloigner les ennemis. Saint Nicolas de Flüe est connu pour son amour du Rosaire. La Suisse avait cherché l'aide du Ciel avec ses prières.

 

 

 

 Le Messager de l'Immaculée , Septembre 2016

 
Notre Dame de Lourdes

La lumière retrouvée


uelques jours après la première apparition de la Vierge à Lourdes, la petite Bernadette, comme chacun sait, avait fait sourdre, en grattant la terre desséchée, une eau mystérieuse tout imprégnée de boue.
Le lendemain, le 25 février 1858, la ville entière était avertie du prodige; la nouvelle se répandit aussitôt dans tout le département et même au-delà ...
A Lourdes, vivait un pauvre ouvrier, Louis Bourriette qui, depuis 20 ans, avait perdu l'usage d'un œil : il travaillait dans une carrière quand une mine mal dirigée avait explosé près de lui, tuant son frère sur le coup; quant à lui, il eut le visage labouré par un éclat de rocher et l'œil droit écrasé. Ses souffrances, pendant quelque temps, étaient telles qu'on dut l'attacher de force dans son lit pour l'empêcher de se blesser davantage, compte tenu des mouvements désordonnés que lui inspirait la douleur.
Peu à peu, les plaies du visage se cicatrisèrent mais, malgré maints traitements et plusieurs interventions chirurgicales, il ne put recouvrer l'usage de son œil : il n'apercevait les objets qu'à travers un épais brouillard. Sa vue, avec le temps, ayant diminué progressivement, il ne pouvait distinguer un homme d'un arbre lorsqu'il fermait l'œil gauche.
Dès qu'il entendit parler de la source miraculeuse, il envoya sa fille en chercher :
- La sainte Vierge, si c'est Elle, n'a qu'à le vouloir pour me guérir, lui dit-il.
Une demi-heure après, l'enfant apportait dans un vase un peu d'eau encore sale et terreuse.
- Père, lui dit-elle, ce n'est que de l'eau boueuse !
- N'importe, lui rétorqua son père qui se mit à prier.
N'écoutant que sa foi, il baigna son œil malade considéré, depuis 20 ans, comme perdu.
Soudain, il pousse un cri de joie et se met à trembler d'émotion: déjà, autour de lui, il perçoit la lumière; petit à petit, la brume s'estompe et il distingue parfaitement les objets qui l'environnent.
Le lendemain, il rencontre son médecin. - Je suis guéri ! lui annonce-t-il.
- Pas possible, je suis le mieux placé pour savoir que votre mal est incurable.
- Ce n'est pas vous qui m'avez guéri, docteur: c'est la sainte Vierge de la grotte !
Le docteur alors écrivit quelques mots au crayon sur son agenda qu'il lui présenta; puis, d'une main, il lui ferma l'œil gauche :
- Nous allons bien voir si vous ne me racontez pas des histoires.
Lisez-moi donc ceci !
Et Bourriette, de son œil apparemment perdu, lut l'inscription à haute voix, sans la moindre hésitation ...
Le médecin, stupéfait, reconnut immédiatement dans cette guérison l'action d'une puissance supérieure.


Notre-Dame de Lourdes, aidez-nous à éloigner de nos yeux cet épais brouillard formé par nos péchés et qui prive notre âme de la vraie lumière. Concluons, avec Francis Jammes, dans son « Cantique de Lourdes » :


« Il faut ici laver
Nos âmes et nos plaies.
De dessus une claie
Un homme s'est levé
Louez l'Immaculée ! »

 

Les Merveilles de Marie, F.Bouchard, Resiac

 

 

 

Notre Dame du Bon Succès, 1611

Message pour notre temps

La "Bonne Etoile" : Notre-Dame du Bon Succès  

(1611-2011 : 400 ans de vénération)

u 17e siècle, la très Sainte Vierge s'est révélée à une religieuse de l'Équateur, fille de Saint François, Mère Mariana, sous le titre de " Marie du Bon Succès de la Purification" (apparitions officiellement reconnues). Elle lui confia que cette dévotion ne serait connue qu'après trois siècles de silence mystérieux". Et, qu'alors, son intervention miraculeuse et extraordinaire restaurerait l'Église catholique, en ce temps ou la crise serait si grande que tout semblerait perdue"... "quand la corruption des mœurs serait presque générale et la lumière de la Foi presque éteinte." Sa statue fut consacrée le 2 février 1611, il y a 400 ans, et sa fête est fixée au 2 février.

Mère Mariana fut fidèle à répandre cette dévotion et confia comme testament à ses filles :" Ayez un grand amour pour la Bienheureuse Vierge Marie.... Préservez et propagez la dévotion de Notre-Dame du Bon Succès, car par Elle vous obtiendrez de Jésus et de Marie tout ce que vous demanderez..... Vous devrez conserver pieusement ce vrai trésor et le faire connaître et aimer par le plus d'âmes possible. Assurez-les que par cette dévotion, elles obtiendront toujours un bon succès, dans le temps et dans l'éternité... Recourez à Elle dans toutes vos nécessités spirituelles et temporelles, spécialement par ces paroles 

"Etoile de la mer, dans la tempête de ma vie mortelle, puisse votre lumière m'éclairer afin que je ne m'éloigne jamais du chemin qui mène au Ciel !"

 

Source du texte : Clarisses de Morgon

  

 

 

 Madone miraculeuse de Saint Luc

Saint Dominique et le Rosaire : la bataille de Muret

ous sommes en septembre 1213 à Muret, près de Toulouse. Simon de Montfort doit soutenir une bataille démesurée contre les troupes cathares du comte de Toulouse, grossies de celles envoyées par le roi d'Aragon. La disproportion des forces en présence est telle que la victoire fulgurante remportée par les chevaliers catholiques tient du miracle.

Or, un mois plus tard, un notaire languedocien relate cette victoire et ajoute à son récit quelques vers en latin, dont voici l'une des strophes :

strophe en latin

Dominicus rosas affere

Dum incipitt tam humilis,

Dominicus coronas conferre

Statim apparet agilis.

traduction en français 

Dominique apporte des roses 

lorsqu'il commence, si humble 

Dominique fait des couronnes 

aussitôt il apparaît agile.

Le Révérend Père Petitot commente ainsi ces vers : "Le symbolisme est transparent. Les roses désignent les Ave, et les couronnes signifient les cordes à nœuds ou grains, les rosaires."

La couronne de roses signifie le chapelet d'Ave Maria ; l'interprétation de ce symbolisme s'impose, croyons-nous, et personne, à notre connaissance n'a encore pu assigner à cette strophe une autre signification

1. Saint Dominique, présent lors de la bataille de Muret, accompagnait donc le combat des troupes catholiques par la prière du Rosaire. Peut-être y encouragea-t-il également les fidèles.

Il s'agit de la preuve historique la plus solide, fondée sur un document écrit, que nous possédions au sujet de saint Dominique, attestant que le Rosaire existait déjà alors.

 

 

R-P. Petitot, o.p, Vie de saint Dominique , réédité par les Editions du Lion sous le titre

Dominique de Guzman, un saint pour le 21e siècle, Lyon, 1996, p.137.

Source : Savoir et Servir : Saint Dominique et les cathares, 1er trimestre 2011.



La Vierge Marie et l'Enfant-Jésus, Neri di Bicci, 15ème

 

Les splendeurs du Rosaire

aint Dominique étant allé visiter sainte Blanche, reine de France, qui, depuis 12 ans qu'elle était mariée, n'avait point eu d'enfants, et donc elle était fort affligée, lui conseilla de dire son Rosaire tous les jours, pour obtenir cette grâce du ciel, ce qu'elle fit, et elle accoucha, l'an 1213, de son aîné qui fut appelé Philippe.
Mais la mort l'ayant ravi en son berceau, la dévote reine eut plus que jamais recours à la sainte Vierge et elle fit distribuer quantité de Rosaires à toute la cour et dans plusieurs villes du royaume, afin que Dieu la comblât d'une entière bénédiction.
Ce qui arriva ainsi, car l'an 1215 saint Louis vint au monde, la gloire de la France et le modèle des rois chrétiens.

 

31ème Rose de Saint Louis-Marie Grignion de Montfort,

Le Secret admirable du très saint Rosaire, aux éditions du Seuil.

 

 

 

Notre Dame de Toute Confiance,

sculpture du frère Bernard-Marie, 1883-1975.

 

L'Ave Maria vainqueur des canons



e frère Théodore était moine à la Trappe de Sept Fons. Il ne se séparait jamais de son chapelet, tant sa confiance était grande en la puissance de l'Ave Maria ...
Et elle se justifiait amplement, sa confiance !...
En effet, il est resté gravé à jamais dans sa mémoire, ce jour où il se trouvait sur le front, avec ses compagnons d'armes, exténués de fatigue et de faim, engourdis par un froid glacial, face à une batterie ennemie qui menaçait de les anéantir.
Un découragement funeste s'était emparé de tous les soldats qui, dans un geste de désespoir, jetèrent leurs armes à terre ...
Soudain un officier s'avance et, montrant les canons meurtriers, s'écrie :
- A moi, les braves !
Mais personne ne répond à son appel... sauf notre frère Théodore, sorti seul des rangs :
- Eh bien, j'irai tout seul !
Ce disant, il dépose son sac et son fusil à terre, et se met à genoux au milieu de la neige. Il fait un signe de croix et récite un Je vous salue Marie.
Ensuite, ayant repris des forces nouvelles, il s'élance à grandes enjambées sur les pièces d'artillerie qui ripostent par deux fois sans néanmoins pouvoir l'atteindre. Il continue de courir, tête baissée, avec un courage surhumain ...
Il approche des canons. Les ennemis, croyant à un stratagème, abandonnent leurs postes et prennent la fuite.
Maître du champ de bataille, notre héros, que ses camarades ont rejoint - tout risque étant écarté - leur dit :
- Voyez-vous, mes amis, il suffit de prier Marie pour se tirer d'affaire.
L'officier, se jetant dans ses bras, arracha sa croix d'honneur et l'attacha sur sa poitrine, en lui disant, les larmes aux yeux :
- Tu la mérites mieux que moi !


O Marie, enseignez-nous à vous prier avec une confiance infinie, afin que, triomphant de tous les pièges tendus par l'ennemi, nous venions goûter, auprès de vous, une récompense éternelle

 

Les Merveilles de Marie F.Bouchard

 

 

Sainte Vierge de l'Assomption

 

 Saint Vincent de Paul sauvé par le Salve Regina

aint Vincent de Paul a raconté comment il avait dû sa délivrance à la Sainte Vierge, lorsqu'il avait été enlevé par les pirates barbaresques et vendu comme esclave à Tunis.

La femme turque de son maître, qui était un renégat, venait parfois le voir bécher au jardin et elle lui demandait divers détails sur son pays. Il lui en donnait aussi sur sa religion et, un jour, il lui chanta le Salve Regina avec tant de douceur et de piété que, la Sainte Vierge aidant, cette femme en fut touchée. Ce fut le point de départ de sa conversion.

"Comme une autre ânesse de Balaam", dit le saint, en plaisantant, elle fit de telles remontrances à son mari d'avoir renoncé à une si belle religion, que celui-ci, à son tour, fut ébranlé. Tous trois ensuite formèrent le projet de quitter le pays et de se sauver en terre chrétienne. Ils s'enfuirent en barque, en grand secret, et parvinrent à franchir la Méditerranée et aborder en France.

 

La Vierge Marie, PETITE "SOMME" MARIALE, 1955

 

 

 

 

 Notre Dame de Fatima

La Sainte Vierge nous préservera et nous sauvera si nous récitons le Rosaire...

u chili, grâce à une Croisade du Rosaire lancée par une femme, reçue avec enthousiasme par 8 prêtres et 2 évêques, et une "marche" de la statue de Notre-Dame de Fatima en forme de Croix au travers du pays, a, en 1 an, amené la défaite d'Allende et le Chili fut sauvé du communisme ; le 12 septembre 1973 : Fête du Saint Nom de Marie !

 

"Introibo" "Ad Jesum per Mariam", ANP


  

Sainte Vierge et l'Enfant-Jésus, Liberale da Verona, 1441-1526, Budapest

La Hongrie, terre mariale

'un des plus grands serviteurs de Marie fut le roi saint Etienne, qui fit entrer les Hongrois dans le courant de la civilisation chrétienne et fut le Charlemagne de son pays.
Il voulut que l'image de la Sainte Vierge fût placée sur les étendards de ses armées ainsi que sur les monnaies. Il proclama la Mère de Dieu reine et patronne de la Hongrie et lui fit hommage de son royaume. En de nombreuses circonstances il recourut à Elle publiquement. Il établit que le jour de l'Assomption serait un jour de fête solennelle. Il avait souhaité mourir ce jour-là et fut exaucé, car il mourut effectivement le 15 août 1038.
Son royaume a fidèlement gardé les traditions de piété mariale de son grand prince. L'image de Marie, la Grande Dame, comme il l'appelait, est toujours en honneur en Hongrie et on la voit jusque sur les monnaies et les timbres.
Les Hongrois aiment à rappeler, comme la Grande Dame les aida au XVIII siècle à se délivrer du joug musulman, sous lequel leur capitale Budapest gémissait depuis 150 ans.
Il restait encore quelques groupes de chrétiens dans la région, même à Buda. On appelle ainsi la partie de la ville qui s'étend sur la rive droite du Danube, formant en cet endroit une suite de collines. Depuis longtemps chaque famille chrétienne, le samedi soir, allumait une petite lampe devant l'image de la sainte Patronne de la Hongrie et la priait longtemps. Mais la délivrance tardait à venir. On l'espérait toujours cependant et l'on s'encourageait en considérant, dans le nom même de BUDA, les initiales de " Beato Virgo" (1) Dabit Auxillium" : la Bienheureuse Vierge enverra du secours.
Or, en 1686, à la voix du pape Innocent XI, une véritable croisade s'ébranla le long du Danube, pour refouler les hordes turques. Après quelques combats, l'armée chrétienne parvint à mettre le siège devant Buda. Mais la forteresse semblait imprenable et, d'ailleurs, les Turcs se défendaient avec courage. On se préparait à l'assaut depuis des semaines lorsqu'enfin un tir mieux dirigé, grâce à l'habilité d'un savant moine, Gabor, fit sauter la poudrière. Les muphtis turcs présidaient à ce moment une prière des musulmans dans la mosquée, ancienne église profanée.
L'effroyable explosion qui ébranla la colline fit trembler la mosquée, dont les murs se crevassèrent. Une niche jadis murée d'un briquetage, au temps de l'invasion turque, pour cacher le trésor qu'elle contenait s'entrouvrit alors et la Statue de la Sainte Vierge cachée depuis 150 ans apparaît à tous les yeux.
C'est la Grande Dame des chrétiens ! Effrayant présage ! les musulmans épouvantés sortant en désordre, semant la terreur dans le camp des assiégés.
Le courage de Charles de Lorraine et ses braves troupes fit le reste. Après une mêlée furieuse, l'étendard qui portait dans ses plis l'image de la Patronne de la Hongrie était hissé sur les remparts. Buda-Pest était délivré. C'était le 2 septembre 1686.
(1) c'était encore le temps ou le V servait de U.

La Vierge Marie, Petite "Somme Mariale" , 1955, page 335-336

 

 

 

La Vierge de Vladimir, Russie

 

  Ukrainienne sauvée par l’Ave Maria

n 1940, une jeune fille, appelée Olga faisait la classe aux enfants dans un petit village d’Ukraine. Elle était forte pieuse est très heureuse d’instruire ses élèves. Or un jour deux agents communistes Russes entrèrent dans l’école :

« Camarade, lui dirent-ils, vous devez nous suivre en ville. Vous, les enfants, retournez chez vous, dans quelques jours vous aurez une autre maîtresse ».

Olga fut jetée en prison avec d’autres prisonniers. Et tous furent envoyés en Sibérie. C’était au mois de février et faisait très froid. En cours de route trente adultes moururent ainsi que 10 enfants et quatre bébés. Après 15 jours de souffrance et de privations, les survivants arrivèrent aux environs de Tobolsk. Il y faisait très froid, le travail était dur et la nourriture insuffisante. Olga et beaucoup d’autres tombèrent malade.

Enfin, voici le mois de juin et la bonne saison. Olga dut travailler à la cuisine du camp. Là, grâce à sa gentillesse et sa piété, elle put consoler beaucoup de ses compagnons d’infortune. Au mois d’août, un certain Daïomonov prit la direction du camp, il ne tarda pas à remarquer la jeune fille. Il essaya de lui faire renier sa foi. Olga résiste avec énergie. Le chef devint très dur à son égard. Un jour, il lui arracha la médaille qu’elle portait au cou et, rageusement, la piétina. Deux gifles sonores furent la réponse d’Olga.

Furieux de colère, Daïomonov l’obligea alors à travailler seule en allant couper des joncs sur les bords du fleuve Irtych, à plusieurs kilomètres du camp. C’était aux approches de Noël. Tous les matins à sept heures, Olga partait à pied vers le fleuve entièrement pris par les glaces. Au bout d’une semaine, la pauvre fille était à la limite de ses forces.

Le lundi 22 janvier, Olga se trouvait au bord du fleuve. Un brouillard épais enveloppait le paysage. Levant la tête, la jeune fille vit soudain dans la brume comme des petites flammes se déplaçant vers elle. D’abord deux, puis quatre, puis dix !

« Mon Dieu, les loups de Sibérie !» Horrifiée, Olga se vit perdue. D’instinct elle pria « Je vous salue, Marie, pleine de grâces. » Déjà les bêtes s’approchaient à quelques mètres d’elle.

Elle sentait leur chaude haleine sur son visage. Elle s’évanouit. Quand elle rouvrit les yeux, les loups avaient disparu ! Sans chercher à comprendre, la jeune fille ramassa faucille et fagots et s’encourut au camp raconter son aventure.

Or l’après-midi du même jour, Daïomonov partit à cheval avec un compagnon en tournée d’inspection. « Vous m’attendrez jusqu’à 10 heures, avait-il dit aux deux cuisiniers, pour me servir à souper. » On attendit donc jusqu’à 10 heures, jusqu’à minuit, jusqu’à trois heures.

Au matin, il n’y avait toujours pas de Daïomonov en vue. Des gardiens partirent à sa recherche. On finit par le trouver lui, son compagnon, leurs chevaux, morts, à moitié dévorés par les loups !

 

D’après « Catacombes » décembre 1976, extrait du "Messager de l'Immaculée"



Vierge à l'Enfant, mosaïque bizantine,

13ème, Saint Paul-hors-les-murs,Rome, Italie,

 L'efficacité des 15 mystères du Rosaire

e bienheureux Alain rapporte qu'un cardinal nommé Pierre, du titre de Sainte-Marie delà le Tibre, instruit par saint Dominique, son ami intime, de la dévotion au saint Rosaire, s'y affectionna tellement qu'il en devint le panégyriste et le persuadait à tous. Le cardinal fut envoyé légat dans la Terre Sainte vers les chrétiens qui étaient croisés contre les Sarrasins. Il persuada si bien l'armée chrétienne de l'efficacité du Rosaire, que tous l'ayant embrassé pour implorer le secours du ciel dans un combat, où ils n'étaient que trois mille, ils triomphèrent de cent mille.

Les démons, comme nous avons vu, craignent infiniment le Rosaire. Saint Bernard dit que la Salutation angélique leur donne la chasse et fait frémir l'enfer. Le bienheureux Alain assure qu'il a vu plusieurs personnes, qui s'étaient livrées au diable corps et âme, en renonçant au baptême et à Jésus-Christ, et puis, après avoir pris la dévotion du saint Rosaire, ont été délivrés de sa tyrannie.

 

35è Rose (B. Alain, 4e p. c 40),Source : Le Secret Admirable du très saint Rosaire

pour se convertir et se sauver. Editions du Seuil

 

 

 

 

 

Notre Dame miraculeuse des Roses à San Damiano

 

 

Monsieur le Curé nous raconte une belle histoire sur Marie et ses archanges.

ela se passe à San Damiano en Italie, fin des années 60.

La sainte Vierge était souvent présente à San Damiano vivante et vraie comme une pèlerine.

Un guide de montagne, ami de monsieur le curé Epiney, durant une procession du Rosaire avec la croix et pendant la récitation des mystères douloureux, fut étonné de voir parmi la foule une femme très belle, habillée très simplement, avec un regard vraiment plein de bonté qui marchait à peu près 80 cm au-dessus du sol, entourée de 3 jeunes qui marchaient aussi à la même hauteur.

Aux dires de Mamma Rosa (la voyante), à qui ce guide avait raconté la scène, ces trois jeunes étaient les 3 archanges : saint Michel, saint Gabriel et saint Raphaël.

 

 

D’après Mr le curé Épiney, DVD : N.D. des Roses et le début de la Tradition

 

 

 

L'Archange Gabriel

annonça à Marie